Madame Lebranchu, j'ai trop de respect pour vous pour polémiquer avec vous. Connaissant votre intérêt pour la France et le monde combattant, ce n'est pas du tout mon propos.
Je vous ferai remarquer que vous n'avez pas employé les mêmes termes que vos collègues qui, eux, ont parlé de « fin du conflit » pour évoquer le 19 mars.
En outre, je n'ai jamais dit que vous n'aviez rien fait. Mais quand vos collègues m'ont parlé de l'allocation différentielle ou d'une revalorisation de cinq points en cinq ans de la retraite du combattant, j'ai simplement posé une question : Qu'y avait-il en 2005 et en 1981 ? J'ai fait remarquer qu'il y avait une légère différence. Au sujet de l'allocation différentielle, j'ai demandé : Y en avait-il une en 2007 ? Qu'y a-t-il maintenant ?
Voilà les remarques que j'ai faites. Je crois qu'elles étaient justifiées.