La commémoration d'un anniversaire de conflit en tant que fête nationale doit être un moment d'union nationale et non un moment de division nationale. Par conséquent, je respecte tous ceux qui veulent fêter le 19 mars comme je respecte tous ceux qui veulent fêter le 5 décembre, le 2 juillet ou le 16 octobre, parce que c'est toujours l'union nationale.