Pour moi, et plus encore pour le monde combattant et ancien combattant, c'est le rassemblement qui prime, le respect que l'on doit témoigner aux uns et aux autres, et à tous ceux qui sont morts. Si vous aviez rencontré toutes les associations d'anciens combattants, madame Biémouret, vous n'oseriez pas tenir de tels propos. Pour l'heure, vous feriez mieux de réfléchir à la façon dont, tous ensemble, nous pourrions commémorer la date que choisissent les associations, dans l'unité nationale, sans intention de monter les uns contre les autres. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)