Notre rôle n'est pas d'engager une polémique sur ce sujet. Nous avons trop de considération pour tous les morts de ce conflit. Laissons les choses s'apaiser. Chaque association a le droit et la possibilité de fêter sa date. Il n'y a d'ailleurs pas que le 5 décembre ou le 19 mars, et certains militent en faveur du 16 octobre ou du 2 juillet. Des directives ont été données pour que les préfets puissent assister à ces cérémonies, quelle que soit la date choisie. Le sujet est trop grave pour donner lieu à polémique.