Lors de la commémoration du cinquantième anniversaire de la fin de la guerre d'Algérie, comme vous l'avez rappelé fort justement, monsieur le secrétaire d'État, ce qui doit primer, c'est avant tout le respect de toutes les personnes tuées pendant les combats d'Afrique du nord. On se souvient ce jour-là des morts d'avant et d'après le 19 mars. On se souvient des milliers de harkis abandonnés par la France.