Même avis. On risquerait, dans une période de forte croissance des DMTO, que certains touchent plus, de façon paradoxale, au titre de la péréquation, que les départements qui recevraient la recette qui ferait l'objet de la péréquation – en termes relatifs toujours, bien sûr, monsieur le président. Cela deviendrait un peu compliqué.
Il faut donc faire attention. La péréquation, aujourd'hui à 5 %, est bonne : voyons comment les choses évoluent, voyons s'il faut l'augmenter, mais agissons avec douceur et justesse, en finesse et sans précipitation.
(L'amendement n° 185 n'est pas adopté.)