Apporter des solutions à la situation économique dégradée de nombreuses filières et renforcer la compétitivité de notre agriculture sont les maîtres-mots de cette mission.
Dans un contexte budgétaire toujours plus contraint, force est de constater que le budget de l'agriculture, l'alimentation, la pêche, la forêt et les affaires rurales a été bien défendu : les crédits ils demeurent stables, ce qui est déjà bien. Avec 5,5 milliards d'euros dont 3,7 milliards d'euros en autorisation d'engagement, les montants sont donc comparables à ceux de l'an dernier. Qui plus est, ils sont conformes à loi de programmation des finances publiques 2011-2013. Cela ne peut que réjouir les centristes qui se battent sans relâche pour cela – on sait notamment toute l'importance que Charles de Courson attache au respect de cette planification.
Nous saluons en particulier la sanctuarisation d'un certain nombre de dépenses d'intervention, qui ont été protégées.