La commission des finances a adopté cet amendement à l'unanimité. En complément des arguments excellemment développés par Yves Censi, je veux préciser qu'un nombre toujours plus grand d'établissements supérieurs privés s'engagent dans le conventionnement : ces 2 millions d'euros permettent de faire en sorte que l'effort de l'État par étudiant ne recule pas. C'est pour l'État une façon d'honorer sa parole, puisqu'il s'agissait, avec le conventionnement, de rapprocher l'effort de l'État en faveur des établissements privés de celui consenti en faveur des établissements publics.