L'amendement n'inclut pas, en effet, les anciens combattants, mais j'ai bien entendu M. Myard et M. Vitel, et j'ai le sentiment que leurs collègues les approuvaient, du moins au sein de la majorité. Par conséquent, monsieur le président, je propose de rectifier l'amendement du Gouvernement, en écrivant le 2° de la façon suivante : « Être réfugié, apatride, ancien combattant, ou bénéficier de la protection subsidiaire », c'est-à-dire d'ajouter les mots « ancien combattant ».