Porter le taux de la contribution sur le chiffre d'affaires des entreprises pharmaceutiques de 1 % à 1,6 %, c'est un progrès, mais nous pensons qu'il faut réellement couper le cordon ombilical qui lie la formation des médecins – en fait, plutôt de l'information – à l'industrie pharmaceutique. Un taux de 3 % nous paraît donc nécessaire. Mme la secrétaire d'État nous a déjà opposé une fin de non-recevoir, en prétendant que tout va bien dans le meilleur des mondes.