Le rapporteur m'enlève les mots de la bouche : la mesure ne nous paraît pas justifiée économiquement dès lors qu'à compter de 2012 les entreprises du secteur aérien seront intégrées dans le système d'échange de quotas. Qui plus est, ce système est mieux adapté à ce secteur car il ne pénalisera pas un opérateur national par rapport à tous les opérateurs low cost qui pourraient le concurrencer.
J'ajoute que je ne vois pas comment vous pouvez trouver 1,3 milliard de rendement, quand la part du transport aérien dans la dépense fiscale est estimée par l'IGF à 315 millions d'euros… C'est largement inférieur !