Il s'agit de proroger d'un an le régime spécial des provisions pour investissements dont bénéficiaient jusqu'à présent pour l'essentiel les entreprises de presse écrite et dont bénéficient aujourd'hui les services de presse en ligne.
Je tiens à insister sur l'utilité de ce dispositif, qui a obtenu l'accord de la commission des finances : au moment où la presse doit passer du papier au numérique, un véritable investissement est nécessaire pour franchir cette étape indispensable pour assurer son avenir. Il faut, par ce dispositif, continuer d'aider cette mutation qui n'a que trop tardé, et ne pas priver la presse des moyens qui lui permettront de l'accomplir rapidement.