J'ai bien entendu l'argument de Mme la ministre selon lequel les banques ne présenteraient plus le PTZ ainsi modifié en « tête de gondole », si je puis dire. Toutefois, la popularité de ce dispositif est telle aujourd'hui que ceux de nos concitoyens qui ont un projet d'accession à la propriété en ont connaissance, notamment s'ils se renseignent auprès du réseau d'information sur l'habitat, financé par les collectivités territoriales et par l'État. Ce type de projet, en effet, est souvent longuement mûri, car il nécessite beaucoup d'efforts, en particulier de la part des classes moyennes. L'argument d'une absence de publicité des banques, s'il correspond à une réalité, ne me paraît donc pas valable pour ce type de projets.
Surtout, nous traversons une période de difficultés budgétaires…