Ces ménages utilisent le dispositif pour des montants extrêmement limités. Si le dispositif ne leur était plus accessible, cela remettrait-il en cause leur faculté d'acquisition ? Je ne le crois pas, d'autant que leur niveau de revenu ne leur donne accès qu'à un prêt réduit sur une durée brève, ce qui n'est pas nécessairement très intéressant par rapport à ce qui leur est proposé par les établissements privés – le taux du PTZ est certes nul mais les mensualités sont élevées.
L'amendement de M. Bouvard me paraît pragmatique au regard de nos observations sur les premiers PTZ « plus ». Il permettra de dégager un peu de marge de manoeuvre. Quant à l'usage de ces économies, comme je le disais précédemment : « On verra. » (Sourires.)