Pour lever toute ambiguïté, je précise que l'idée n'est pas de transformer le crédit d'impôt en subvention. Le rapporteur général a simplement souligné qu'il ne fallait pas adresser à ce crédit d'impôt, qui s'apparente à un subventionnement de travaux, la critique de la dépense fiscale. N'adoptons pas une position de principe sur ce point spécifique ! Nous voulons conserver un crédit d'impôt, maintenir son taux et discuter du plafond en deuxième partie.
(L'amendement n° 345 est retiré.)