Je me réjouis que nous soyons appelés à en discuter à nouveau en seconde partie.
On ne peut pas considérer qu'il s'agisse d'une niche fiscale. Dans les zones soumises à un PPRT, les logements sont très difficiles à vendre et les obligations de travaux incombent souvent à des gens modestes qui ne disposent pas des moyens nécessaires. Il est donc important de relever le plafond et il serait même bienvenu d'augmenter le taux, comme s'apprête à le proposer notre collègue David Habib.