…ce qui va avoir pour conséquence de les fragiliser. Les banques françaises notamment, exposées de manière conséquente aux dettes souveraines, vont devoir passer par profits et pertes – pertes surtout – une partie des encours prêtés à certains États. Ainsi fragilisées, elles seront encore moins enclines que maintenant à prêter aux entreprises. Tâchons, mes chers collègues, d'anticiper cette situation prévisible en prenant des mesures adaptées, comme je vous le propose avec cet amendement.