Ce projet, même ainsi partagé, porte l'empreinte de Nicolas Sarkozy. Pour nos collègues du parti socialiste, c'est suffisant pour qu'il faille le combattre. Pas de consensus donc. Et tant pis pour les emprunteurs, au premier rang desquels nos collectivités territoriales !
Mes chers collègues, la ligne de conduite du parti socialiste a un nom : c'est la politique du pire. Et c'est cette même attitude qui prévaut depuis l'ouverture du débat sur le budget 2012.