Cela nous emmènerait beaucoup plus loin que votre taxation des boissons sucrées, des hauts revenus ou des chambres de bonne.
Ces trois mesures peineront donc à définir un budget qui restera dans les mémoires, à moins que vous n'acceptiez certains de nos amendements. Puisque vous en appelez au sens des responsabilités de chacun, monsieur le ministre, peut-être en effet accepterez-vous des amendements de l'opposition qui offrent un rendement sans commune mesure avec les dispositions que vous nous proposez, un rendement à la mesure des difficultés budgétaires et financières que notre pays affronte.
Car la situation est extrêmement délicate. Notre pays avait-il jamais été jusqu'alors placé sous surveillance par une agence de notation ?