Depuis cet été, les mauvaises nouvelles s'enchaînent, et en ce début d'automne, on ne peut pas dire que cet enchaînement se soit interrompu.
Au mois de juillet, la note de la dette souveraine des États-Unis a été dégradée. Puis est survenu le problème de la Grèce, et le plan du 21 juillet mis en place à l'initiative de la présidence française, mais qui n'a pas encore pu être mis en oeuvre. Je vous rappelle que le parlement slovaque ne l'a voté que la semaine dernière. Ainsi, l'incertitude a été alimentée, et, dans ce climat, les marchés financiers se sont précipités sur des actions spéculatives, ce qui explique que la situation se soit détériorée.