…qui, malgré une année électorale, nous propose un budget sincère, comportant une réduction des déficits de 1,2 point de PIB, c'est-à-dire 23 milliards d'euros sur l'ensemble de nos comptes publics.
Je ne peux que me souvenir, et c'est d'ailleurs un très mauvais souvenir, de la première loi de finances que j'ai présentée en qualité de rapporteur général. La première fois laisse toujours un souvenir particulier ; c'était la loi de finances rectificative de juillet 2002. Ce sera la seule allusion que je ferai à la gestion passée, mais en juillet 2002, il a fallu corriger de fond en comble une loi de finances totalement obsolète, Michel Bouvard et Charles de Courson s'en souviennent.