Nous devons par ailleurs rester attentifs à ce que les banques françaises atteignent les objectifs définis par les accords de Bâle III, sans pour autant resserrer le crédit aux entreprises et aux particuliers. Les établissements de crédit français ont un accès aux financements suffisant. Ils ont déjà considérablement augmenté leurs fonds propres : 50 milliards d'euros en l'espace de deux ans. Ils devront poursuivre cette voie. Nous sommes en train de définir une coordination européenne sur ce type de dispositif.