Interrogé par des parlementaires, le ministre du budget de l'époque a indiqué que le coût lui paraissait excessif et qu'il écrirait pour indiquer ce qu'il en était selon lui. Éric Woerth, puisqu'il s'agit de lui, a ainsi écrit au président de la commission des finances – je tiens ce courrier à la disposition de tous ceux qui pourraient être intéressés – que le coût de cette niche Copé n'était pas de 20 milliards d'euros mais de 18,6 milliards, ce qui est moins, en effet…