Monsieur Sandrier, je ne peux pas vous laisser sans réponse. Le Gouvernement a souhaité moraliser cette pratique depuis le début, et dès la loi TEPA nous avons voulu que les parachutes dorés récompensent la performance réelle des dirigeants, et ne soient pas attribués de manière arbitraire. Nous avons ensuite taxé ces parachutes, nous les avons encadrés, et je rendrais compte au rapporteur d'ici demain de l'avancement des mesures d'application de ces textes très importants votés par l'Assemblée nationale.
(L'amendement n° 138 n'est pas adopté.)