Dans ces conditions, il faut impérativement, d'une part, faire baisser l'euro sur les marchés, ce qui relève du Conseil européen et de l'article 119 du Traité – c'est aux États d'imposer cela à la Banque centrale – ; d'autre part, créer des avances directes par la monétisation de la dette afin de permettre la survie de la zone euro.