C'est la seule technique qui permettra à l'Union d'emprunter à la place des pays vulnérables, mais surtout de pays qui, si rien n'est fait, auront dans les années qui viennent les plus grandes difficultés à trouver des financements – ou à des taux d'intérêt très élevés.
Il est donc regrettable que lors de la rencontre entre la chancelière et le Président de la République, il ait été fait mention des euro-obligations. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Il aurait mieux valu ne pas en parler du tout ! Car le pire, c'est d'en avoir parlé et d'avoir condamné l'instrument.