Je vais, là encore, demander quelque chose d'extraordinaire. Face aux drames que constituent les accidents de la route, il convient de veiller à l'amélioration des conditions d'accueil et d'accompagnement, à tous les stades de la procédure, des victimes d'accidents de la route dont les blessures sont souvent à l'origine de handicaps lourds et de traumatismes aux effets dévastateurs.
Pour sensibiliser les pouvoirs publics et l'opinion publique, je propose d'instaurer une journée nationale des victimes de la route, dont la date sera fixée par décret après consultation des associations concernées – naturellement, ce ne sera pas une journée fériée ni chômée.