Il s'agit toujours de l'établissement d'un barème indicatif pour les honoraires des avocats en matière de divorce. Prévoir une révision du barème tous les ans me paraît excessif. Cela accréditerait la thèse selon laquelle ces honoraires sont en perpétuelle inflation. On imagine en outre le nombre de réunions qui seraient nécessaires pour fixer un cadre indicatif. Une réévaluation tous les deux ans me paraît raisonnable et de nature à assurer une bonne information du justiciable.
L'avis de la commission est donc défavorable.