Imposer une telle obligation fragiliserait le secteur et risquerait d'entraîner la suppression de 20 000 à 30 000 emplois d'un coup. Il faut certes renforcer la formation – je rencontre d'ailleurs à cette fin les professionnels le 11 juillet et un rapport sur le renforcement de la formation, notamment sur les règles d'hygiène, a été remis par M. Régis Marcon à M. Xavier Bertrand et à moi-même. Les contrôles auxquels j'ai fait procéder montrent qu'il faut avancer dans cette voie, mais la réponse doit être appropriée.
Le retrait de l'amendement me semblerait donc raisonnable. J'informerai tous ses signataires des résultats des discussions menées avec les professionnels, lesquels sont très demandeurs d'une évolution dans le sens de l'amendement.