J'entends que le débat n'est pas clos mais qu'il ne peut être tranché aujourd'hui, ce que je peux admettre.
Je rappelle seulement qu'il s'agissait de permettre à la victime non pas de faire appel, mais simplement d'être présente ou représentée et de s'exprimer devant les instances chargées de l'application des peines.
Cela dit, au vu des différents éléments, je comprends parfaitement que c'est un débat qui a une cohérence. Or nous sommes soucieux de la cohérence, comme de la défense des victimes. Nous ne sommes pas encore dans cette logique, mais je veux croire que l'on chemine. Je retire donc mon amendement.
(L'amendement n° 23 est retiré.)