…pour le responsable de la ligne éditoriale des chaînes du groupe et pour le directeur des programmes. À l'entendre, il fallait un projet de loi – le sien, évidemment –, pour qu'enfin on distingue les émissions des chaînes publiques de celles des chaînes privées.
Avec beaucoup de courage et un certain panache, M. de Carolis, dès le lendemain, a vertement réagi dans un interview sur une radio périphérique en qualifiant les réflexions du Président de la République de « stupides ».