Notre proposition a le mérite de la simplicité et de la clarté : quand l'entreprise redistribue beaucoup de bénéfices, il faut aussi qu'elle contribue. Cette façon de concevoir le partage des richesses pourrait devenir un levier du développement.
Notre position est si claire et l'aveuglement idéologique du Gouvernement si évident que le ministre ne répond pas. Répondre ce serait déjà s'affaiblir face à la puissance de notre argumentation. (Sourires.) Monsieur le ministre, je crois que le président, qui est de Seine-Saint-Denis, sait la puissance de notre argumentation. Vous qui n'êtes que de l'Aube, vous ne pouvez pas comprendre !