Vous avez dressé un portrait de l'économie française moins pessimiste que celui que d'aucuns auraient attendu. Selon vous, les entreprises françaises sortiraient de la crise moins malmenées qu'on aurait pu le redouter. Votre vision de l'avenir est, elle aussi, porteuse d'espoir, compte tenu notamment des priorités d'Oséo que vous avez mentionnées.
Votre soutien aux entreprises qui souffrent d'un allongement des délais de paiement n'est sans doute pas gratuit. Comment se répercute-t-il sur les débiteurs ?
En matière d'innovation, certains secteurs vous paraissent-ils plus prometteurs que d'autres ? Ont-ils un lien avec les investissements programmés au titre du « grand emprunt » ?
Quelles sont vos relations avec Ubifrance ? Pourriez-vous mutualiser vos moyens afin d'apporter un meilleur soutien aux entreprises désireuses d'investir au plan international ?
Avez-vous pu émettre un diagnostic sur les dispositions fiscales destinées à favoriser les investissements des entreprises ?
Croyez-vous possible qu'on vous autorise à soutenir les ETI ?