Dans mon rapport de 2004, j'avais prévu que les premières difficultés apparaîtraient en 2009 ou en 2010, moment à partir duquel la situation ne ferait qu'empirer. Il est urgent de s'attaquer au problème. De toute façon, si l'on n'oblige pas les entreprises à accompagner les femmes travaillant à temps partiel, l'État devra, dans quelques années, prendre des mesures de compensation en leur faveur.