Mon intervention ne s'inscrit pas tout à fait dans la lignée des précédentes, mais a tout de même lien direct avec le sujet. Le meilleur moyen, selon moi, de promouvoir le vin, c'est de maintenir le prix raisonnable de celui-ci. Or, le rapport actuel entre le prix de la récolte du viticulteur et le prix du vin mis sur la table, de six à sept, est inacceptable.