Je suis tout à fait d'accord avec M. Jean Dionis du Séjour : comment sommes nous parvenus à une telle absurdité ? Je constate également les dégâts provoqués par les décisions de Mme Fischer Boel, dont nous avions déjà eu une illustration à travers problème des quotas laitiers.
Toutefois, de telles réflexions doivent être reportées à plus tard : l'heure est à la mobilisation. Nous devons parvenir à l'unanimité au Sénat comme à l'Assemblée nationale, et convaincre les eurodéputés. J'ai rencontré l'un d'entre eux qui m'a assuré que nous ne devrions pas rencontrer trop de problèmes pour obtenir gain de cause. Il nous faut tout de même faire face et travailler de concert avec la CNAOC, car je crois que la situation n'est pas gagnée d'avance.