Sur le fond, je voudrais reprendre le sujet des pandémies évoqué par Mme la secrétaire d'État. Il est évident que si une pandémie grippale ou d'une autre nature se produisait, il y aurait des bien-portants en quarantaine et des malades qui resteront probablement chez eux. Ils seront en congé de maladie et seraient en quelque sorte passibles de l'amendement Lefebvre. Or, je crains que l'amendement n° 42 deM. Pierre Morel-A-L'Huissier ne prépare le terrain pour le retour de l'amendement Lefebvre en deuxième lecture.