Nous avions pensé au partage des points en 2004, année où nous avons légiféré sur le divorce, les épouses du premier mariage se retrouvant bien souvent dans une situation dramatique.
Quant au décret, je ne l'accepte pas tel qu'il vient d'être rédigé ! Je me désolidarise totalement de ce genre de prêchi-prêcha ! C'est une question de conscience.
Selon Pascale Coton, de la CFTC, auditionnée la semaine dernière, il traduit une régression des droits des femmes ! Françoise Milewski, de l'Observatoire de la parité entre les femmes et les hommes, m'a téléphoné ce matin pour m'alerter sur la nécessité absolue de nous mobiliser.
Notre Délégation tient à la tenue des tables rondes sur le temps partiel prévues en juin. Ce sujet échappe au clivage gauche-droite : il est impératif de sauver ce qui peut encore l'être – au moins pour la génération des femmes de quarante à cinquante ans.