C'est bien la preuve que, rue de Valois, certains ont conscience de la difficulté de l'exercice.
Mes chers collègues, nous sommes ici face à un monstre juridique, qui n'échappera pas à la censure du Conseil constitutionnel. Ne laissons pas celui-ci faire le travail à notre place. Il est de notre devoir de faire nous-mêmes le ménage dans ce texte, sinon à quoi servons-nous ? C'est pourquoi je demande la suppression de l'article 3 bis. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe SRC.)