Vous êtes très aimable, monsieur le président, de permettre qu'il y ait un vrai débat.
Je vous remercie, madame la ministre, d'avoir bien voulu me répondre. Toutefois, vous ne m'avez pas convaincu : en effet, vous parlez de « péréquation » quand je parle de « compensation ». Vous le voyez, nous ne sommes pas dans le même registre. On peut très bien compléter une notion par l'autre, ajouter la compensation exacte à la péréquation nécessaire pour corriger les inégalités.
Nous avons eu hier un débat très intéressant sur nombre de sujets, mais j'ai l'impression que, désormais, nos collègues, et peut-être même les membres du Gouvernement, sont comme des chevaux fourbus qui sentent l'avoine fraîche de l'écurie et qui sont pressés d'arriver. (Sourires.)