Nous avons financé cette ambition à hauteur de 210 millions d'euros, grâce aux prélèvements sur les billets de TGV et les sociétés d'autoroute. C'est la première fois depuis plusieurs années que nous remettons en service des lignes d'équilibre entre les territoires, qui représentent 340 trains, alors même que nous nous orientions vers l'abandon de ces lignes d'équilibre afin de financer exclusivement les lignes à grande vitesse. C'est un signe politique fort de notre volonté de rééquilibrer les réseaux en faveur des territoires ruraux.