Où en est votre projet d'ajustement des effectifs, qui prévoyait la suppression de 4 000 emplois en France ?
Plus particulièrement, Alstom Power est en passe de perdre un savoir-faire à Belfort, avec la fermeture de l'atelier de fabrication des ailettes destinées aux turbines nucléaires. Cette décision découle-t-elle d'une rentabilité insuffisante de l'atelier ou s'inscrit-elle dans une stratégie globale de délocalisation de vos activités ?
Vous avez décidé de créer avec Bouygues une société commune, dénommée « EMBIX », dont l'objet sera de développer et fournir des services de gestion et de pilotage de l'énergie destinés aux éco-quartiers. Quel sera votre investissement dans ce projet ?
Le 9 décembre, à Moscou, vous avez signé avec des entreprises énergétiques russes des accords stratégiques visant à fournir des produits et des services dans le domaine de l'hydroélectricité, des centrales thermiques et nucléaires, ainsi que dans la transmission d'électricité. Y a-t-il des risques de délocalisations et de transferts de technologie ?
Vous avez indiqué récemment que, si l'occasion se présentait, vous examineriez la possibilité d'acquisitions dans le secteur de l'énergie éolienne. Qu'en est-il ?