Votre entreprise s'est développée, grâce à de fortes politiques publiques menées par le passé, en liaison avec d'autres grandes entreprises dont le statut a évolué – comme EDF, ancienne entreprise publique devenue société anonyme. Comment analysez-vous ce phénomène ? Comment ont évolué vos relations avec EDF depuis que celle-ci n'est plus le monopole public que l'on connaissait ?
Quelle est la part des effectifs d'Alstom qui travaillent en France ? Comment a-t-elle évolué ?
Quelle est la part du chiffre d'affaires d'Alstom réalisé en France ?
Quelle est la part des activités de recherche et de développement accomplies en France ? Qu'en est-il des transferts de technologie ?
Dans le domaine ferroviaire, c'est l'objet d'une commission d'enquête présidée par M. Alain Bocquet, faites-vous appel à des partenariats extérieurs pour affronter la concurrence – sans aller, tout au moins je l'espère, jusqu'à proposer des offres low cost ?
Par ailleurs, je partage votre avis : même si l'on fait des économies d'énergie et que l'on améliore l'efficacité énergétique, la demande mondiale d'électricité augmentera. La question du mode de production se pose dans un second temps.
Quelle part représente le nucléaire dans votre activité de production de turbines ?