Ne nous trompons pas : la Commission, dans l'affaire que vous évoquez sous le nom d'affaire des Roms, avait demandé à la France de bien vouloir expliciter sa position – vous aviez vu les incidents qui s'étaient produits. C'est ce que nous faisons en introduisant dans cet article une mesure législative qui ne contrevient pas au droit européen, mais qui précise ce que nous entendons par « abus de droit ».
Il ne s'agit pas d'incriminer des intentions ou des appellations, quelles qu'elles soient, mais bien sur des faits précis. Nous sommes tout à fait dans la logique européenne et dans la logique de la Cour de justice des communautés européennes.