Avis défavorable. La notion d'abus de droit est, je le confirme après M. Goasguen, prévue par la directive. Nous ne faisons donc qu'appliquer le droit européen.
Je voudrais préciser que ce n'est pas le renouvellement du court séjour qui est en cause : il doit être bien clair que c'est l'intention de détourner le droit existant qui est en cause. Cette intention doit, bien entendu, être prouvée par des faits.