Le concept de « maintenance » intègre le fait non seulement qu'on doit réparer la panne éventuelle mais également la prévenir. Or, il apparaît que le coefficient de disponibilité du parc nucléaire français est très inférieur à celui d'autres États. Notre commission a reçu successivement MM. Henri Proglio et Gérard Mestrallet et, alors que le premier déplorait un coefficient trop faible, le second mettait au contraire l'accent sur l'existence d'un coefficient élevé. Quelle est votre appréciation à ce sujet ?