J'ai été interpellé d'abord en qualité de vice-président de la commission des affaires culturelles et de l'éducation. Vous avez raison, monsieur le rapporteur : il y matière à réfléchir pour notre commission. Je pense que cette question est incontournable.
Ensuite, en qualité de porte-parole du groupe UMP, je souhaite une suspension de séance de cinq minutes.