La mission parlementaire avait, à la suite de l'audition de Pierre Jouannet, considéré qu'une telle mesure constituerait une rupture majeure dans la pratique de don des éléments du corps humain qui a toujours prévalu dans notre pays.
Cela risquerait en outre de soumettre cette activité aux lois du marché.
(L'amendement n° 16 , deuxième rectification, n'est pas adopté.)