À mes yeux, c'est la femme qui doit choisir ; aussi, renforcer le rôle du médecin me gêne. Je connais bien les facteurs de risques, mais qu'est-ce qui nous garantit qu'aux yeux du médecin, ce n'est pas l'âge qui fera pencher en faveur de précautions supplémentaires ?
Je reste persuadé que si nous devons accepter un déséquilibre, il doit être en faveur de la femme. Voilà pourquoi je suis défavorable à cette rédaction. (« Très bien ! » sur plusieurs bancs du groupe SRC.)