J'en termine, monsieur le président.
Nous avons tous le plus grand respect pour le Sénat et pour les sénateurs. Cela étant, que le Sénat nous laisse travailler. Qu'il vive sa vie et nous laisse vivre la nôtre. Nous avons la volonté d'accroître nos moyens de contrôle et d'évaluation. Que le Sénat fasse de même et qu'il ne nous empêche pas de faire ce que nous souhaitons pour le bien du travail parlementaire et le renforcement du rôle de notre assemblée dans les institutions de la République. Il y va de notre cohérence et de notre volonté politique de progresser. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)